Quand j’avais commencé a travailler sur le story-board de mon récit “Un voyage sur Titan”, j’étais vraiment très excité d’y travailler dessus du a mon grand intérêt pour Titan. Mon récit se déroule dans un lointain futur ou l’homme a déjà commencé sa quête pour coloniser d’autres corps célestes du système solaire.
Les personnages principaux de mon récit, sont le capitaine Boileau et son adjointe le caporal Laroche. Le but de leur visite sur Titan est de mener une mission d’exploration sous-marine dan le plus grand lac de méthane de Titan, portant le nom de Kraken Mare, pour établir des colonies.
“Première page du story-board original du récit ‘Un voyage sur Titan’ quand l’aventure commence déjà sur la surface de Titan.”
Sur le story-board original, avant de commencer l’expedition sous-marine dans le lac Kraken Mare, j’avais décidé que les personnages principaux devaient s’arrêter près d’une base spacial, qui avaient été construite sur Titan, mais finalement, j’avais décidé d’annuler cette idée, parce que je ne le trouvais d’aucune nécessité. Ce qui m’intéressait le plus, c’était d’impliquer l’expedition sous-marine, le plus possible dans mon récit.
Après avoir terminer le premier story-board de l’histoire, il y eut de nombreuses scènes qui ont commencé a me déplaire. Pour moi, le début de l’histoire sur la surface de titan, était trop précipité. Autre part dans l’histoire, les personnages principaux font plusieurs voyages, ils s’arrêtent à une base spatiale et font ensuite un voyage en avion sur Titan. Ces voyages pour moi, étaient de trop. Comme il y avait beaucoup de choses qui ne me plaisaient pas, je pris alors la décision de tout recommencer.
Après avoir terminer mon deuxième story-board, j’étais plus satisfait avec la nouvelle version de l’histoire. Ce qui m’a plus le plus, c’était de représenter Titan vu depuis l’espace au début de l’histoire et quand les explorateurs voient Saturne dans toute sa splendeur depuis la surface de Titan.
“Première page du deuxième story-board ou Titan est vu depuis l’espace et passant tout prêt de Saturne avec une petite narration décrivant l’époque à laquelle se déroule le récit.”
Un voyage sur Titan est une histoire de science fiction courte de six pages. L’histoire se passe dans un lointain future ou l’homme a commencé à coloniser les lunes des géantes gazeuses du système solaire Jupiter et Saturne. Mon histoire tourne autour du commandant Boileau et sa nouvelle recrue, le lieutenant Baurelli qui sont appelés pour faire partie d’une exploration sous-marine dans le lac Kraken Mare, le plus grand lac de méthane de Titan.
Avant de commencer à travailler sur mon récit, j’avais décidé de faire des recherches plus approfondis concernant Titan pour avoir de l’inspiration. Je connais déjà un grand nombre sur les lacs de méthane sur la surface, dont la plupart se trouvent dans les deux pôles de Titan. Toutes les montagnes et les dunes de Titan ne sont rien d’autres que de la glace. Tous ces atouts, sont les raisons pour lesquelles je suis un grand fan de Titan.
“J’adore la couleur orangée de Titan. Si on ne parvient pas à voir la surface, c’est due aux gaz comme le méthane et le nitrogène, présent dans l’air de Titan.“
“Si un jour, l’homme mettra le pied sur Titan, on aura affaire à un brouillard sans fin et on pourrait aussi avoir du mal à savoir ou on est.”
J’ai choisis Titan comme thème d’histoire, parce que je suis passionné par les activités qui se déroulent sur sa surface et malgré sa proximité lointaine du soleil et malgré les conditions inhospitalières que possède cette lune, Titan a presque toutes les mêmes qualités que la Terre car il possède des corps stables sous forme de liquide à sa surface et une atmosphère assez épaisse. Je suis un passionné des planètes depuis que j’étais très jeune, mais je suis aussi par dessus tout un grand fan des exo-planètes. Les planète en dehors en dehors du système solaire.
“Ce qui me passionne le plus chez Titan, c’est l’apparence de son atmosphère.”
“J’adore par dessus tout, l’atmosphère de Titan vu de si près sur cette photo. Je le trouve absolument magnifique.”
Si j’ai choisis Titan comme endroit pour mon récit, c’est parce que Titan possède des activités similaire à celle de la terre. C’est une lune active et possède aussi une activité pluviale, tandis que les lunes galiléennes Ganymede, Europe et Callisto, bien qu’elles soient suspectées de contenir les éléments nécessaire pour la vie, les surfaces de ces lunes sont inactives et ont tous une très fine atmosphère. Sauf Io, qui est constamment en éruption.
J’avais aussi appris les conditions de Titan pendant ma jeunesse et j’avais été grandement impressionné par le fait que cette lune contenait du liquide sur sa surface. Je suis aussi intéressé par le fait que comme les lunes galiléennes Europe, Ganymede et Callisto, y compris la lune Enceladus, Titan possède une croute de glace et pourrait bien y cacher un vaste océan d’eau. J’ai une très grande envie de voir cela de mes propres yeux.
The environment in trouble came up to me, when I was studying at the University of Creative arts. What I had in mind, that was to do a still animation with narration in illustrations showed up one after the other, while explaining the situation of the environment and other things that involve it. I had a lot of projects in my mind but I only had to choose one project, but that did not stop me from doing research on the environment.
I really liked working on the research I was doing on the environment, while sticking images and making drawings while doing research on the environment. Of the sections I worked on, some of them, shocked me as I learned more about them and how bad the situation is, concerning the environment.
The part of the research project I worked on, was concerning the extinction of species. The extinct species that fascinates me the most, is the dodo. I first heard about the dodo at young age, but I wasn’t really interested in it at first, until I started getting interested in the environment nowadays. The dodos lived peacefully on the island of Mauritius until man showed up on the island and were wiped out.
As I did more research on extinct species, I discovered the quagga. Another species, victim of human activity. The quagga is a subspecies of zebra which was hunted down to extinction in the 1880’s. I didn’t know anything about the quagga until that time when I was doing research on extinct species.
Today people are trying to recreate the species through selective breeding in an attempt to re-create the species, using the DNA of zebras. This is called the quagga project. Attempts of recreation, have indeed proven to be successful in which several specimens, bare a strong resemblance to the quagga. But for many experts on the quagga, these specimens are just lookalikes, meaning that they are not considered as genuine quaggas, because according to them, they behaved differently.
Another type of extinct animal that fascinates me a lot, is the Tasmanian tiger. This marsupial became the scourge for Australian farmers who settled on the island of Tasmania, and pretty soon, they were hunted down till there were none left in the wild. The last Tasmanian tiger died in captivity in the 1930’s.
Another topic that I find interesting about the destruction of the environment, are invasive species. None native species of plant and animal can also cause a lot of damage to local species. I never thought that could even be possible. These are a series of animal species that really marked me.
One of the most annoying invasive species, is the cane toad. This species of venomous toad had been introduced in many parts of the world to help protect agricultural activity from insects. Unfortunately, because of its toxicity, it has been giving a lot of trouble for local species. Especially for those in Australia. According to historians, about one hundred cane toads had been introduced in Australia. Now there in their millions.
The snake head had also been introduced deliberately in different parts of the world because it is an important food source, but this species of fish, can reproduce very quickly and is a vicious predator that will eat anything it can get its jaws on. It can also spend some time out of the water. The snakehead had been introduced in American waters and since it’s a none-native species, it has been causing a lot of trouble for native species.
The argentine ant had been brought to different parts of the world by accident and causes a lot of disturbance to native ant species, especially because the local environment depends on them for survival and as food. Another ant species known as the fire ant, had also been imported by accident and like its counter-part the argentine ant, it causes trouble for local environments, including people. These two ant species are one of the reasons, the horned lizard population is dwindling.
The brown tree snake had also been introduced by accident in different parts of the world, but the area where where it has caused damage the most, is on the island of Guam. The presence of this snake on Guam, caused a severe decline of many different species and the presence of this snake has had a huge impact on Guam’s fragile ecosystem. Birds were vital for the control of spiders, living on Guam and with hardly no birds left on Guam because of the brown tree snake, the spider population thrived enormously, leaving cobwebs almost every where. They also cause a lot of trouble for people living on the island as well.
The part concerning the environment, is pollution. As a kid, I never really understood what it was about. As I grew up, I started to understand more about it. The excessif use of fossil fuels which causes climate change and the use of deadly chemicals which is then dumped into rivers, ponds or the sea.
The same thing goes for the use of plastic. This material also ends up in ponds and the sea and many occasions, animals mistake the plastic as a food. Several reports of whales and other amphibians washed up ashore and as their corpses where examined, plastic was found in them.
The first environmental disaster I got involved with, was the incident of the oil tanker Prestige. I once went at a protest rally, in which participants were demanding the clean up of the oil, that had been dumped in the sea from the Prestige. The Prestige oil spill, was the worst environmental disaster for Spain and is only one of many other oil spills that took place.
Oil spills in the sea, usually take place due to mistakes, ill preparation or complete ignorance of consequences. Till this day, the Deepwater Horizon oil spill, has been the worst oil spill of all time.
During my young days, I wasn’t fully aware about earth’s status because of human activity. One day, I went to the cinema and watched the science fiction movie ‘The day the earth stood still.’ What I liked most of all in this movie, was the giant robot named GORT. This movie triggered in me that human activity is causing a lot of damage to the earth. After I watched that movie, I felt really bad for what man kind has been doing all this time.
I had watched a lot of environmental disaster movies, one of them being ‘The day after tomorrow’. The movie in which an ice age takes place around our time, which in the movie, this ice age, is said to be caused by climate change. None of that has happened, but according to experts on the earth’s climate, the next ice age won’t take place in at least 50,000 years.
When it comes to documentaries about the environment, for me, none of them are much better than the way than the David Attenborough presents them. I find his documentary series, absolutely wonderful and as I watched them, I discovered large numbers of plant and animal species that I never knew about.
On the documentary series ‘Kingdom of plants’, The plants that were new to me, were the plants known as the giant water lily from the Amazon and the carnivorous bladderwort plant. I never knew of these plants until today, unfortunately, I forgot most of those that were presented by David Attenborough.
The were also some parts of earth that I never thought possible such as pools of brine, which are found on the deep sea floor and are primarily found near the polar sea ice. I was also really interested in animals from the deep such as the barreleye fish, because of its barrel-shaped eyes. But what I like most about his fish, is the transparency of its head.
As I watched this series, some parts were deliberatly placed in slow motion. The parts of the series that I liked the most were, the appearances of the great white shark. It was really interesting to watch. The animal I also really liked, was the amour leopard. I didn’t even know that this species of feline existed till today. One of the reasons probably, is because it is on the edge of extinction that I didn’t know much about it.
J’avais commencé le projet pour la revue Horta à la mi-septembre 2022 pour la revue Horta organisé par 64 page. Quand je me suis mis à travailler sur le projet, comme d’habitude, je dessinais au crayon avant de mettre à l’encre. Pendant ce temps, je rencontrai parfois des difficultés, sur le projet, par exemple j’ai toujours un peu de mal à dessiner des édifices. C’est pourquoi j’avais fait des photos des parties impressionnantes du musée pendant ma visite, pour pouvoir m’inspirer et ils m’ont été très utiles.
Je m’amusais beaucoup pendant que je travaillais sur ce projet, parce qu’il avait un rapport avec la vieille époque et je suis un passionné de l’histoire. Mais quelques fois je ne m’en sortais pas, parce que je me trouvais dans une situation ou je devais dessiner tout petit et je dessine tout petit, je ne m’en sors pas. Mais quand-même j’ai tenu le coup et je continuais à travailler sur le projet.
“Version originale de la page 2 du projet pour la revue Horta, fait au crayon crayon bleu à l’origine et repasser par dessus avec du feutre noir.”
“Ce dont je suis le plus fier sur cette planche, c’est la lampe qui se trouve au milieu de l’entrée du musée.”
Après avoir terminer les six planches de mon histoire pour la revue Horta, je me mis à travailler sur la mise en couleur. J’avais taillé sur la mise en couleur du projet sur Photoshop. Meme si j’avais décidé à employer du crayon de couleur sur mes planches, j’avais toujours des ennuis pour la mise en couleurs parce que les couleurs que j’employais ne pouvaient pas pénétrer dans certains espaces de mes planches.
Comme je suis quelqu’un de méticuleux, je passais plusieurs heures sur les planches afin que absolument tous les espaces des planches, aient de la couleur. Je réussis à terminer la mise en couleur des planches et peu après cela, je fis envoyer les planches aux organisateurs de la revue Horta.
La mise en couleur sont un mélange de couleurs différentes avec celle qui représente la vieille époque, quand Stella rencontre Horta, elle entre dans son monde au vingtième siècle. Cette histoire m’a aussi donné un peu d’inspiration pour d’autres projets dans le futur, que j’avais voulu intituler “Les fantômes du passé”. Une série d’histoires courte concernant Stella, qui rencontre, des personnes historiquement célèbres ou même des endroits qui ont totalement disparu. Mais, pour l’instant, je dois m’occuper de mes autres projets que j’avais déjà préparer par le passé et qui sont assez long à faire.
“Planche actuelle de l’histoire courte pour le projet Horta avec mise en couleurs.“
“J’ai beaucoup aimé le chapeau de Spirou, suspendu dans les airs.”
Après avoir longuement réfléchi pour le projet, je parvins à trouver une idée d’histoire pour la revue Horta. C’est l’histoire d’une jeune étudiante en architecture qui souhaite faire revivre le style d’origine d’Horta au 21ème siècle et lors de son séjour au musée, elle rencontre Horta en personne, dans la vieille époque.
J’avais commencé à travailler sur le story-board de l’histoire en septembre et pendant la préparation de ce story-board. J’étais mieux préparé pour faire le projet en version story-board, car par le passé, a chaque fois que je termine de travailler sur un story-board, je finissais toujours par changer le projet tout entier, une fois que je commençais à dessiner le projet principale.
Pendant que je travaillais sur le story-board, j’avais décidé de changer un peu mon style en commençant par dessiner une case qui occupe la place des autres cases qui se trouve en dessous, comme la lampe dans les pages de story-board si-dessous. J’avais trouvé cela plutôt intéressant de travailler dans ce style. Sans doute parce que c’était la première fois que je travaillais
Pendant la préparation, j’avais aussi décidé de dessiner le story-board, d’une façon plus détaillée, un peu comme si s’était le projet lui-même, pour pouvoir mieux m’en sortir. Cela avait marché et il y eut très peu d’envie de changement, une fois quand je devais me mettre à travailler sur la mise au net du projet.
Je me sentais vraiment bien quand je travaillais sur le story-board du projet Horta. Je ne me suis jamais sentis comme ça sur les story-board des autres projets.Je pense que c’est parce que je m’étais mieux préparer pour le projet.
Rencontre avec Horta est une histoire courte de cinq pages. Ce projet fait partie de la revue Horta. Un magazine organisé par 64 page avec pour thème, l’édifice du musée de la bande-dessiné qui avait été construit par Horta et servait en tant qu’entrepôt par le passé.
J’avais déjà entendu parler de l’architect Victor Horta, pendant que je faisais mes études et je n’avais pas entendu parler de lui, jusqu’à ce jour. Je m’étais plutôt intéressé par son travail, car celui-ci était quelqu’un de la vieille époque et je m’intéressait déjà beaucoup sur le passé.
“Photo de l’époque ou le musée de la bande-dessinée servait d’entrepôt dans les 1900 et contenant la grande lampe qui est toujours présent.”
Le projet pour la revue Horta m’était parvenu il y a longtemps de cela, mais après l’avoir reçu, j’étais entrain de travailler sur d’autres projets. Pour moi, le projet pour la revue Horta était un peu difficile, parce que le projet devait avoir un rapport avec l’édifice même, du musée de la bande-dessinée et je ne pouvais pas trouver quel genre d’histoire, pouvant impliquer l’édifice du musée de la bande-dessiné.
Je parvint à inventer une histoire pour le projet, mais avant de commencer à faire mon histoire, je décidai de passer une journée au musée de la bande-dessiné, pour m’inspirer des alentours de l’édifice pour le projet, ou j’avais dessiné la fameuse lampe qui se trouve au milieu du musée.
“La grande lampe se trouvant au milieu de l’entrée du musée est vraiment impressionnante.“
“Je me demande à quoi elle pouvait servir à l’époque ou le musée servait d’entrepôt.“
J’avais déjà visité le musée à de nombreuses reprises, par le passé quand j’étais très jeune et j’avais vraiment beaucoup apprécié, mais bien sur, ce qui m’intéressait le plus, c’était les magasins. Je ne me souviens pas vraiment des fois ou je voyais les planches qui étaient exposés quand je suis venus au musée pour la première fois. Encore moins de la fameuse grande lampe se trouvant à l’entrée du musée.
Quand je suis arrivés au musée, mon plan d’origine était de faire des dessin de l’édifice. Je fis un dessin et après l’avoir fait, j’eus une grande envie de visiter le musée et voir les nombreuses planches originales, faites par des célèbres créateurs de bande-dessinées. J’avais vraiment adorés voir le musée, bien que je l’avais deja visité par le passé, alors que j’étais enfant. La fusé Tintin et les personnages de Tintin, étaient nouveau pour moi quand j’étais allé au musée ce jour-là.
“Avant d’entrer dans le musée, je pris la décision de faire un peu de dessin d’observation, en commençant par la lampe se trouvant au milieu de l’entrée du musée.”
“Je m’amusais plutôt bien à dessiner cette lampe, bien que je rencontrais quelques difficultés pour dessiner en détail toutes les parties que composaient la lampe.”
J’avais commencé à travailler sur ma version du Vilain petit canard aux alentours de septembre 2021, quand j’ai commencé le cours du professeur Cenci. C’était aussi le premier projet dans lequel j’avais décidé de dessiner mes personnages et les décors avec une couleur différente et ensuite repasser à l’encre. Je pris la décision de dessiner avec du bleu.
“Page 1 de l’histoire du vilain petit canard”
L’idée d’utiliser une couleur commence petit à petit a m’intéresser parce que comme le gris est très proche du noir, je me voyais obliger de tout gommer à chaque fois que je l’utilisais. Je laissais le crayon gris sur la plupart de mes projet, mais finalement je décidai de gommer tout le crayon gris d’un de mes projets de bande-dessinée (L’histoire du roi Minos). C’était vraiment très pratique, parce que ça m’évitais de gommer et gommer jusqu’a ce qu’il ne reste plus rien de la gomme.
“Page 3 de l’histoire du vilain petit canard, toujours incomplet”
Quand j’avais commencé le projet, j’avais aussi décidé d’un peu modifier mon style, comme rendre certains personnages et certaines choses, plus touffus pour donner plus de détails que d’habitude. Je dois dire que ça m’a vraiment excité car je n’avais jamais fait cela au par-avant, mais j’avais eu quelques difficultés quand il s’agissait de mettre la couleur, parce que je ne savais pas vraiment par quel couleur commencer, afin de ne rien mélanger.
Celine and the sea Dragon fut une histoire pour enfants, composé de 24 page en version illustré, que j’avais envoyé à un concours. C’est l’histoire d’une petite fille qui se lie d’amitié avec un elfe des mer. Les deux essaient de trouver un moyen d’aider son ami, un dragon des mer qui souffre d’une étrange maladie incurable.
Ce projet était organisé par Keycolors. Comme le concours avaient lieu à Hasselt dans la région flamande, les organisateurs ont laissé les participants à écrire leur projet en anglais. Ce projet était un peu difficile pour moi, parce que j’avais un peu de mal pour trouver une histoire qui pouvait divertir les enfants.
Quand-même, je me suis bien amusé à faire ce projet, pourtant quand les résultats furent annoncés, je découvris que je n’avais pas été sélectionné parmi les gagnants du concours.
L’histoire du Tsushima Maru est une bande-dessiné courte de cinq pages qui se déroule pendant les dernières années de la seconde guerre mondiale. C’est une histoire sans personnages principaux avec seulement de la narration, expliquant la situation du navire, pendant la guerre du pacifique, quand il a été coulé par un sous-marin américain.
J’avais commencer à travailler sur ce projet au début du mois de mai 2022. Pendant la préparation du projet, j’avais quelques fois un peu de mal à le préparer surtout pour faire le contraste entre le noir et le blanc. Ce projet m’avait prit environ 55 heures a réaliser, la conception, le story-board, les dessins et la mise en couleur inclus.
Photo du Tsushima Maru en période d’avant-guerre
Ce projet répondait à un appel organisé par l’éditeur “64 page“. Après avoir envoyer mon projet à l’éditeur, heureusement, ils acceptèrent de le faire publier a coté d’autres projets pour le mois de septembre.
La tragique histoire de ce navire m’avait marqué depuis très longtemps comme beaucoup d’autre navires qui furent coulés pendant la seconde guerre mondiale. Beaucoup de combattants perdirent la vie en mer, ainsi qu’un grand nombre de civils qui voyageaient en tant que passagers clandestins ou en tant que réfugiés.
Depuis mon enfance, j’avais lu de nombreux livres pour enfants de l’histoire du vilain petit canard dans de différents styles et j’en ai moi-même, quelques exemplaires du comte toujours chez moi. Il y en avait même un que j’avais complètement oublié, que je l’avais encore.
“J’ai comme l’impression que l’un des illustrateurs du conte, c’est trompé avec le vilain petit canard, parce que les bec et les pattes chez les bébés cygnes, sont noirs. J’avais deux autres livres du même genre par le passé. Pierre et le loup et L’intrépide petit soldat de plomb.”
Je possédais cette version illustré du vilain petit canard par le passé. Un jour, j’avais décidé de le vendre. Comme le nom de la compagnie qui la publié, n’apparaît pas, alors, je ne sais pas comment le retrouver.
“Cette version anglaise du vilain petit canard des éditions Ladybird, m’avait toujours marqué. Dans cette version, tous les canards, y compris le vilain petit canard, ont les yeux froncés et cela ne me plaisait pas beaucoup. Depuis quelques temps, j’avais pensé l’avoir vendu, mais non.”
Dans cette autre version anglaise du vilain petit canard, il y a toute une série d’incidents qui ne se déroule pas dans l’histoire d’origine, comme quand une fois arrivé a la ferme, le vilain petit canard tombe dans une flaque de boue et il devient ensuite la risée de tous les animaux de la ferme, ce qui le pousse alors à prendre la fuite.
Je possédais d’autres contes de la même version par le passé, l’histoire de “Boucle d’or” et “Les trois ours” et l’histoire des “Trois Boucs bourrus”. Ces deux contes ne m’intéressait plus alors je les ai vendus, mais pour ce qui de la version du vilain petit canard, j’ai voulu le garder.
“Ceci est une illustration de Vilhelm Pedersen. Cet illustrateur était assez connu pour avoir fait des illustrations de certaines scènes des contes de Hans Christian Anderson. Cette illustration là, c’est le moment ou le vilain petit canard fut adopté par une femme et quand il se fait martyriser par son chat et sa poule.”
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